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Joie

21 avril 2012

Je me rends compte qu'il a donc fallu prendre, à

 

goutte 

Je me rends compte qu'il a donc fallu prendre, à un moment donné, le parti de la Joie et de la Beauté, ou ne pas le prendre. C'était probablement au moment du point de croisement ou la question n'était pas "Vivre ou Mourir" mais "Mourir ou Danser". Ce chemin là , (Joie et beauté) est un engagement à lui seul , et le seul qui n'ait pas besoin de justification. Toujours pas de bannière, mais l'Amour. Il faut aimer comme un cadeau, parce que c'est un cadeau, et là parce que Tu es un cadeau. Ne jamais laisser notre propre pensée menacer notre "intégrité". Exploser, de Joie ou de Refus. Aimer.

A l'instant je me demande si c'est devenu ma seule réponse. Que se passerait t'il si c'était la seule réponse? Aimer.

 Je me souviens des mots d’une femme qui sont remontées à la surface ce matin (alors que j’étais sous l’eau) et de deux choses incroyables et essentielles à mes yeux.
 «J’ai un grand secret à te donner. Derrière le pire t’attend la Joie. »
« Il convient d’Aimer de la seule manière possible : Démesurément. »

Nous sommes des points, indispensables, parmi les autres, qui tendons vers le point-moment-vibrant ou Tout et tout le monde sera prêt à exploser calmement, infiniment et avec certitude.
Je veux dire, nous n’attendons pas seulement que le monde soit prêt à changer, nous sommes ce changement.
A l'instant je me demande : est-il vraiment possible alors que ce changement survienne sans notre communion ?

Ce matin je redécouvre une forme de dualité émotionnelle,à la fois être traversée et porter quelque chose, et j'arrive assez peu à prendre conscience de ce qui se passe en moi.  J'attendrai pour comprendre, calmement que quelque chose se dénoue.


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16 avril 2012

INCROYABLE Egon Schiele

 

Schiele___Umarmung___1912

 

16 avril 2012

Disons le premier, rêve.

 

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J'ai marché toute la nuit, pieds nus, sous un soleil brûlant, dans le quartier de la Joie Pure. Tu ne voulais pas apparaître près de moi,  mais je n'ai pas, pendant tout ce temps, cessé d'être en toi.

 (En attendant Godot version mystico-naturalo-onirico-vagabondage SOLAIRE.)


Tournée vers toi, j'entends d'ici le roulement sourd et profond de la peine.

Notre évolution sera solaire et implacable.

 Une femme africaine m'indique le chemin; ses enfants jouent avec des superstitions en gazouillant, elle est comme la grand-mère de chacun. Les bâtiments sont en vieille pierre.Mes pieds sont couverts de poussière.

 Nous sommes tous deux baignés de silence, mais en moi résonne un rire infini devant l'immensité de ce qui est POSSIBLE.

Tu arrives, je le sais.

Ce rire est étoilé et indestructible. Je t'accueille déjà, l'âme grande ouverte et éclatante.

 

Fulgurance - http://www.deezer.com/music/track/12210056 

 

 

 

 

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